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« De l’autre côté du miroir », que se passe-t-il ? La place de notre identité dans notre société moderne. Sa quête parfois. Voilà l’objet de ce livre. Eclairage.
Un concours littéraire ? Pourquoi pas ! Les éditions MLK en organise un. Le sujet est : « De l’autre côté du miroir ». En fait, cela m’inspire. C’est vrai que j’ai déjà écrit mon témoignage et qu’il est publié chez un autre éditeur. Mais comme j’aime écrire et que j’ai envie de créer des connexions littéraires, je décide de me lancer. Parler du mythe de la caverne de Platon me semble être une bonne chose. Alors je rends ma copie. Et surprise, je suis retenu pour faire partie de la quarantaine d’auteurs de cet ouvrage collectif. Très heureux de participer à cette belle aventure. Merci à Erika et à toute l’équipe !
De l’autre côté du miroir ? Nous essayons souvent de nous qualifier nous-mêmes par trois qualités et trois défauts, comme s’il était possible de nous définir par l’utilisation de six adjectifs seulement. Quand la société nous pousse à entrer dans un moule pour mieux nous catégoriser, nous n’en restons pas moins chacun singulier, unique. Nous sommes bien plus qu’une poignée de mots, qu’une demi-douzaine d’étiquettes…
Qui sommes-nous réellement ? Qu’est-ce qui nous définit ? Sommes-nous capables de nous décrire le plus honnêtement et le plus justement possible ? Face à face avec nous-mêmes, quel reflet notre miroir nous renvoie-t-il ? Est-ce la réalité, ou est-il déformé par nos impressions, nos faux-semblants, nos expériences ?
Ce livre est un appel à regarder ce qui se passe de l’autre côté du miroir. A nous regarder face à face, à nous livrer avec transparence peut-être et, si cela n’a pas déjà été fait, à partir à la recherche de notre véritable identité.
La place de notre image semble être de plus en plus importante car l’image prend de plus en plus de place dans nos vies. Télé, ordinateurs, mobile, tablette, réseaux sociaux…Nous sommes saturés de pixels et nous devons vraiment en prendre conscience afin de garder le cap ! Et bien souvent, la réalité est différente de l’image qu’on en perçoit.